Le journal Algérien LIBERTÉ fond les plombs. Son propriétaire, Issad Rebrab, patron du groupe industriel CEVITAL, cesse la publication à perte dans l'optique de passer bientôt la main d'un groupe sans danseuse à son successeur. Sauf que, LIBERTÉ n'était pas une danseuse, mais un journal en lutte permanente contre la crasse islamiste, Dame Bêtise et la junte de Barbarie. Il avait aussi tendance à
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