La presse audiovisuelle française se pourlèche les babines, l'Audimat crève le plafond et la seconde de publicité est bien plus chère. La presse écrite ne sait pas trop - qui lit encore le journal chez les masses laborieuses et démocratiques ? - et elle s'est engagée dans le tunnel traditionnel du roi-potiche sans pouvoir politique ; comme ça, nul ne sera ici dépaysé. Mais c'est tout le
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