Sur le sujet précis que nous évoquons aujourd'hui, l'expression "à chacun sa merde" viendrait de Donald Trump (mais je n'ai pas retrouvé le tweet original parmi les onze mille tweets de sa présidence) et cela concernait bien sûr les déchets européens laissés en Syrie après la défaite de l'Etat islamique en Irak et au Levant.
Notre pays, perclus de précautions et inervé de trouille, refuse le
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