Le vieux patriote Algérie française que je suis resté, même pas pied-noir, lit presque chaque jour en ligne le journal d'Alger Liberté. Kamel Daoud y laisse souvent un article, toujours superbement écrit, atrocement désespéré. Parlant des Harraga qui risquent leur vie pour traverser la mer, il a une phrase magnifique que j'ai mise en titre de ce billet.
Les Harraga, ou qu'on les appelle
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