Dispute au dîner. Les Juifs de Palestine ferment le couloir cisjordanien à Givat Hamatos avec 2610 appartements (voir la carte de B'Tselem) et agrandissent Ramat Shlomo de 1500 clapiers. Ici, ils ont des droits historiques, bibliques, sur la Judée et la Samarie. Là, ils enfreignent les résolutions onusiennes et le droit international en bâtissant chez autrui pour immigrer en zone occupée. Le piéton du roi fait passer la bouteille et se ressert une lichée de Saint-Amour (les grès triasiques du terroir en font des vins charpentés en macération longue mais qui se boivent adolescents) et proclame qu'il s'en fout !
Les Gazaouis ont bombardé Sdérot pendant des lustres avec des rockets faites en tubes fly-tox ; en fait ils visaient les occupants sans titre de Najd dont les villageois arabes furent expulsés en 1948. Peu me chaut, ce n'est pas moi qui prend la pelle à fossoyer. Les Israéliens pilonnent des écoles ou des dispensaires à Gaza City dans lesquels se planque la vaillante infanterie du Hamas. Même punition, la pelle à d'autres, j'ai mal au dos.
Cette ethnie sémite s'entretue de bon coeur depuis des siècles dans une guerre fratricide. Salut Abram, le patriarche, pas le char ! C'est leur malédiction et les voies du Dieu tonnerre qu'ils adorent à leur manière sont impénétrables.
Sur la même longueur d'onde du Département d'Etat, je pense que le double langage hébreu n'honore pas son gouvernement de boutiquiers sans vista. Petit jeu, petit gain ! A diverses raisons aussi entortillées que les anglaises des purs fainéants de la vieille ville, les responsables israéliens cultivent le danger de leur situation comme des tomates, repoussant de diverses façons l'aube de toute solution ; comme celle de deux Etats économiquement imbriqués. Peut-être pensent-ils que l'Holocauste leur sert de viatique originel (comme le péché originel qui sert à tout) et les autorise à pratiquer sans vergogne les caprices politiciens qui leur traversent l'esprit. Ils se trompent lourdement car les yeux du monde sont secs à leurs malheurs. La moitié de la planète en passe de diriger l'autre est étanche aux horreurs de nos guerres, ils ont eu les leurs, en pire ; et quelques millions d'empêcheurs de commercer en rond ne vont pas leur couper l'appétit si d'aventure ils se faisaient foutre à la mer ! Mettre l'affaire en débat dans les diasporas asiatiques est instructif vu de Sirius.
Et symétriquement, le recours aux bombes terroristes placées dans le public, le refus de tout compromis pacificateur du côté du Hamas, comme le défilé d'enfants armés déguisés en martyrs dans les cohortes vertes hystériques, assèchent par avance toute commisération extérieure pour les conséquences futures d'une vindicte remontée en boucle. Les monceaux de ruines de Gaza ressemblent à d'autres monceaux de ruines accumulés ailleurs par les éléments naturels. Affronter les réalités semble des deux bords impossible. C'est le mot : réalités. Ces gens, accrochés à des principes fumeux et mortifères, ignorent volontairement les réalités du monde actuel et comptent encore, des trois côtés, sur des soutiens extérieurs pour que le mirage de leurs illusions restent en suspension sur l'horizon. C'est la guerre et la mort qui vont surgir du brouillard de poussière ! Tirez le rideau c'est horrible à voir.
"Quarante à", la partie continue sans moi.
Les Gazaouis ont bombardé Sdérot pendant des lustres avec des rockets faites en tubes fly-tox ; en fait ils visaient les occupants sans titre de Najd dont les villageois arabes furent expulsés en 1948. Peu me chaut, ce n'est pas moi qui prend la pelle à fossoyer. Les Israéliens pilonnent des écoles ou des dispensaires à Gaza City dans lesquels se planque la vaillante infanterie du Hamas. Même punition, la pelle à d'autres, j'ai mal au dos.
Cette ethnie sémite s'entretue de bon coeur depuis des siècles dans une guerre fratricide. Salut Abram, le patriarche, pas le char ! C'est leur malédiction et les voies du Dieu tonnerre qu'ils adorent à leur manière sont impénétrables.
Sur la même longueur d'onde du Département d'Etat, je pense que le double langage hébreu n'honore pas son gouvernement de boutiquiers sans vista. Petit jeu, petit gain ! A diverses raisons aussi entortillées que les anglaises des purs fainéants de la vieille ville, les responsables israéliens cultivent le danger de leur situation comme des tomates, repoussant de diverses façons l'aube de toute solution ; comme celle de deux Etats économiquement imbriqués. Peut-être pensent-ils que l'Holocauste leur sert de viatique originel (comme le péché originel qui sert à tout) et les autorise à pratiquer sans vergogne les caprices politiciens qui leur traversent l'esprit. Ils se trompent lourdement car les yeux du monde sont secs à leurs malheurs. La moitié de la planète en passe de diriger l'autre est étanche aux horreurs de nos guerres, ils ont eu les leurs, en pire ; et quelques millions d'empêcheurs de commercer en rond ne vont pas leur couper l'appétit si d'aventure ils se faisaient foutre à la mer ! Mettre l'affaire en débat dans les diasporas asiatiques est instructif vu de Sirius.
Et symétriquement, le recours aux bombes terroristes placées dans le public, le refus de tout compromis pacificateur du côté du Hamas, comme le défilé d'enfants armés déguisés en martyrs dans les cohortes vertes hystériques, assèchent par avance toute commisération extérieure pour les conséquences futures d'une vindicte remontée en boucle. Les monceaux de ruines de Gaza ressemblent à d'autres monceaux de ruines accumulés ailleurs par les éléments naturels. Affronter les réalités semble des deux bords impossible. C'est le mot : réalités. Ces gens, accrochés à des principes fumeux et mortifères, ignorent volontairement les réalités du monde actuel et comptent encore, des trois côtés, sur des soutiens extérieurs pour que le mirage de leurs illusions restent en suspension sur l'horizon. C'est la guerre et la mort qui vont surgir du brouillard de poussière ! Tirez le rideau c'est horrible à voir.
"Quarante à", la partie continue sans moi.
Dieu pourvoiera aux cartouches !